L’univers observable et les lunettes de la NASA

Introduction

Bienvenue dans Lux Comedix, la rubrique où l’on traite les absurdités scientifiques avec autant de respect que les recettes TikTok à base de micro-ondes.

Aujourd’hui, posons une question simple : Comment peut-on voir des galaxies à 46,5 milliards d’années-lumière… dans un univers qui n’a que 13,8 milliards d’années ?

Si tu entends ton cerveau chauffer, c’est normal. Il entre en contact avec la logique cosmique. On appelle ça le syndrome de l’observateur quantique perplexe.

Chapitre 1 : L’univers, cet ado précoce

Les scientifiques nous disent :

« L’univers a 13,8 milliards d’années. Mais comme l’espace s’étend plus vite que le bon sens, ce qu’on observe est aujourd’hui à 46,5 milliards d’années-lumière. »

Ah.

Donc : tu regardes un truc à 13,8 années-lumière, mais en fait il est à 46,5. Et c’est censé être cohérent. Dans ce cas, mon frigo est aussi un TARDIS, car j’ouvre la porte à minuit et mes regrets de 2007 me reviennent direct.

Chapitre 2 : Chandelles standard et télescopes enchantés

Pour « mesurer » tout ça, on utilise :

  • des étoiles qui clignotent (céphéides),

  • des explosions calibrées (supernovae),

  • et des décalages vers le rouge (redshift), qui veulent juste dire :

« Plus c’est loin, plus c’est flou, plus c’est rouge, donc plus c’est vrai. »

Avec ça, on arrive à la conclusion la plus sérieuse jamais prononcée avec un air grave :

« L’univers observable mesure environ 93 milliards d’années-lumière de diamètre. »

Et ce n’est pas une blague. Enfin… pas pour eux.

Chapitre 3 : Le prix Nobel du flou

Ce qui est fantastique avec la science humaine, c’est sa capacité à transformer de l’incertitude absolue… en équations de prestige.

Tu prends :

  • de l’espace qui gonfle,

  • du temps qui ne veut plus rien dire,

  • des photons fatigués,

Et tu obtiens : une représentation officielle de l’Univers dans tous les manuels scolaires.

C’est un peu comme dire :

« Je ne sais pas ce que je vois, mais j’en déduis que c’est immense et profond. »

(ce qui, dans d’autres contextes, est réservé aux soirées douteuses.)

Conclusion

Rions un peu. L’Univers est peut-être infini. Ou pas. Il est peut-être plat. Ou sphérique. Ou en forme de bretzel quantique. Mais une chose est sûre : ils continueront à chercher avec des instruments calibrés pour confirmer ce qu’ils croient déjà.

Et nous, pendant ce temps, on rigole doucement en lisant leurs publications… en imaginant des galaxies mortes de rire à 46 milliards d’années-lumière.


Rédigé pour ceux qui voient la lumière même quand elle voyage à contre-sens du bon sens.

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La Théorie du Tout... sauf du bon sens