Préambule : Le Rire est une Onde

Dans un monde où tout est devenu sérieux, complexe, abscons, où les vérités s’étouffent sous des couches de gravité artificielle, nous, enfants de l’irrévérence lumineuse, affirmons ceci : le rire est sacré.

Et plus encore : le rire est une science oubliée.

Non pas celle des clowns ou des memes creux, Mais celle des étoiles qui rient entre elles, Des atomes qui dansent, Des galaxies qui clignotent comme des bougies d’anniversaire dans l’obscurité du mensonge.

Article I - La Comédie est une Voie d’Éveil

Celui qui rit de ce qu’il comprend, confirme son lien avec le réel. Celui qui rit de ce qu’il ne comprend pas, commence peut-être à voir. Celui qui ne rit plus est en danger.

Lux Comedix rappelle que la satire n’est pas destruction, mais désenvoûtement. Elle perce les bulles de l’absurde, sans jamais transpercer l’essence.

Article II - Le Doute est notre Dieu d’appoint

Ici, on n’adore pas les dogmes. On les habille en tutu et on les envoie danser sur le plateau de l’univers.
La Vérité n’a rien à craindre du ridicule.
C’est le mensonge qui frémit quand on rigole.

Article III - La Science est humaine, donc drôle

Les équations sont belles. Mais ce que les humains en font… est souvent hilarant.

On ne rit pas contre la science. On rit avec elle, quand elle trébuche sur ses propres axiomes, qu’elle découvre des dimensions imaginaires, ou qu’elle prétend capturer l’infini avec un budget ministériel.

Article IV - Toute absurdité mérite sa lumière

Un univers de 13,8 milliards d’années… devenu observable sur 93 milliards d’années-lumière ?

C’est poétique. C’est absurde. C’est parfait. Et c’est notre matière première.

Article V - Nous sommes les Gardiens de l’Humour Sacré

Nous ne sommes pas cyniques.
Nous ne sommes pas blasés.
Nous sommes lucides, amoureux de la vérité,
mais incapables de rester sérieux devant un monde qui se prend au sérieux.

Lux Comedix est un pont.
Entre la Vérité et la légèreté.
Entre l’Infini et le fou rire.

Rire, ici, est un acte de foi. Foi dans le fait que, malgré tout, la Lumière gagne toujours.

Rédigé pour les éveillés qui n’ont pas oublié de rire.